Je n’éprouve qu’une demie attirance gustative pour la dinde, qu’elle soit américaine ou française à noël. C’est un peu, singulièrement, la marque de la limite de mon assimilation, de mon intégration à la culture occidentale. Étrangement quelque chose au fond de mon être me susurre : tu ne vas pas participer à cela.
Déjà sur le pian gustatif la volaille de Bresse ou non, le chapon, la poularde, c’est infiniment plus parfumé, savoureux.
Et puis sentimentalement, mémoriellement, il y a l’oie…
L’oie rôtie entière, entourée de ses pommes, avec ses épices, parle à ma mémoire.
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