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samedi 1er mars 2008
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Israël a catégoriquement démenti vendredi avoir menacé la bande de Gaza d’un Holocauste, à la suite d’une traduction, jugée « fallacieuse », par des médias internationaux d’un mot en hébreu utilisé par le vice-ministre de la Défense, Matan Vilnaï. Face à la poursuite des tirs de roquettes sur le territoire israélien à partir de la bande de Gaza, le vice-ministre de la Défense a averti que les Palestiniens risquent d’« attirer sur eux une catastrophe encore pire que celles qu’ils ont connue ».
« Le ministre a usé en hébreu du terme shoah, qui signifie catastrophe, un terme qui dans ce contexte ne se réfère pas à la Shoah, l’Holocauste », a déclaré son porte-parole Eytan Guinsburg, faisant allusion au génocide des juifs durant la Seconde Guerre mondiale.
Le porte-parole s’est élevé « contre cette traduction fallacieuse » par certains médias, soulignant qu’il suffisait « de consulter n’importe quel dictionnaire pour se rendre compte qu’elle était erronée ». M. Vilnaï a averti qu’Israël était prêt à user de « tous les moyens nécessaires » pour faire cesser les tirs de roquettes provenant du territoire palestinien.