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Le P’tit Hebdo
mercredi 10 mai 2017
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En 1987, le procès de Klaus Barbie faisait l’effet d’une « catharsis nationale » en libérant la parole des victimes de la Shoah. Trente ans après, comment maintenir cette mémoire vivante ?
11 mai 1987, la salle des pas perdus du palais de justice de Lyon est transformée en salle d’audience géante : pour la première fois en France, un homme est jugé pour crimes contre l’humanité. Près de 150 parties civiles, représentées par 39 avocats, et 400 journalistes se pressent en bord de Saône.